Sea, Shrimps and Sun (part 2) (04/10 – 15/10)

Nous en avons profité pour faire de la plongée dans des endroits magiques (on a juste croisé des baleines et dauphins, incroyable mais flippant). Bref, vous l’aurez compris, nous étions venus ici pour profiter des joies de l’Océan, bah ça n’a pas loupé. Anne-cerveza en a d’ailleurs bien profité, les apéros au bord de l’eau rythmant notre quotidien.

Voilà pour le topo, au risque de se répéter nous avons vraiment adoré ce pays, ses routes (si l’on peut appeler ça des routes), ses villages et marchés que nous avons traversés (nous avons fait tout de même près de 1200 km dans ce pays), nos nuits dans les huttes de paille sur le sable, le sourire des milliers d’enfants bordant les routes (je ne suis pas du genre gaga mais là c’est chaud) et les mozambicains toujours souriants et prêts à faire la fête.

Après l’Afrique du Sud, ça faisait du bien d’aller dans un pays pas touché par le tourisme (on a tout de même réussi à croiser nos premiers français qui travaillaient à Vilankulos) et d’être au plus près de la population. Nous tenons d’ailleurs à remercier Samy (français gérant de l’internet café de Vilankulos) qui nous aura bien aidé et fait profiter des joies de la nuit mozambicaine, notamment à l’Africa Bar, bar boîte qui réunit tous les fêtards de la région qui aura vu Anne-rateau refuser la main de nombreux courtisans pendant que je jouais au lever de coudes au bar (le tipo tinto, rhum local certes délicieux me fait encore mal aux cheveux).

Bref, après une énième partie de cache-cache avec les flics sur la route (je ne suis pas peu fier car nous ne nous sommes faits arrêter que trois fois et avons craché qu’une fois l’équivalent de 8 euros, Anne-feinteuse croit que c’est parce qu’elle faisait genre qu’elle dormait, elle est trop mignonne), nous avons passé une dernière nuit à Maputo chez Charles (diplomate Americain rencontré lors d’une plongée) ou plus précisément dans le palace de Charles qui nous donnera quelques bons tuyaux pour l’Amérique du Sud (il était auparavant au Venezuela) lors d’un dernier restaurant bien épicé du centre (le peri peri me pique encore la bouche).

Désolé pour la confusion du récit, mais c’est à l’image du nombre de souvenirs que nous en avons et de l’ambiance régnant dans ce pays, quel « beau » bordel !!!

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