Out of Africa (05/09 – 08/09)

Je sais que beaucoup d’entre vous n’en ont rien à secouer de voir des animaux mais franchement là, ce n’est plus de la traque mais juste de l’observation et croiser des troupeaux d’une cinquantaine d’éléphants se mélanger avec un troupeau de girafes et de zèbres (par centaines sisi) ou risquer d’écraser une bande de lions qui partent à la chasse au coucher du soleil sont de sacrés spectacles surtout dans ce décor d’Etosha qui abrite un désert de sel gigantesque entouré de savane.

Nous étions comme des gosses durant ces trois jours et si nous devions choisir les meilleurs moments, je pense qu’on choisirait :

  • la percée d’un troupeau d’éléphants à travers le bush pour arriver à un point d’eau où nous avions décidé de nous caler tranquilou pour bouquiner. Nous avons bien cru qu’ils allaient nous passer dessus mais comme on en impose pas mal ils se sont décalés au dernier moment pour passer juste devant la voiture.
  • au coucher du soleil (heure à laquelle on doit rejoindre les camps avant que ces derniers ne ferment les portes) où nous sommes tombés sur un groupe de six lionnes accompagné du cher et tendre roi qui organisaient une petite chasse (impressionnant !!!)
  • Anne-pipi en pleine nuit qui est revenu paniqué dans la tente car elle se faisait traquer par un groupe de chacals qui ont ensuite fait le tour de la tente pendant une demi-heure en émettant de petits bruits bien stridents (pas très rassurant)

C’est la fin de cette Afrique sauvage et c’est vrai que quitter les girafes, zèbres, phacochères, antilopes et autres animaux qui traînent au bord des routes et égayent la route vont un peu nous manquer.

Désormais direction l’Afrique du Sud et la ville de Capetown (qui compte déjà deux fois la population de la Namibie) que nous rejoignons après deux soirées à Windhoek et un bon bus de nuit de 23 h (sympa). 

L’histoire de ce pays lors du dernier siècle ne plaide pas en sa faveur, aussi nous espérons que nous serons en mesure de profiter un maximum des sud-africains et de son paraît-il très beau pays. Au pire, les plages du Mozambique nous tendent les bras (héhé). En attendant, on va profiter de la ville de Capetown et de sa région … Tout contact là-bas est bien évidemment le bienvenu.

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Crocodile Dundee (02/09 – 04/09)

La frontière Est avec le Bostwana, c’est fait, la frontière Sud avec l’Afsud, c’est fait aussi, la frontière Ouest avec l’Atlantique c’est fait, il nous manquait plus que la frontière Nord avec l’Angola, ce qui est désormais fait. Après près de 5000 km au compteur, on pourra dire qu’on aura fait le tour de la Namibie et c’est avec un certain plaisir que nous arrivons aux chutes d’Epupa sur le fleuve Kunene qui est la frontière naturelle avec l’Angola.

Le camp est un petit coin de paradis sous les palmiers au bord du fleuve et des chutes très attrayantes mais infestées de crocodiles ce qui limitera nos baignades à la piscine du camp qui sera une excuse supplémentaire pour rester rouiller trois jours et nuits dans la région.

Anne-Dundee lézarde comme une reine après avoir arpenté le fleuve en long en large et pas en travers accompagné des jeunes locaux qui semblent avoir apprécié sa compagnie (elle se faisait bien coller, chose qu’elle adore comme le savent ceux qui la connaissent bien).

On profite tranquillement de ces moments et des cascades spectaculaires avant la dernière mais pas n’importe quelle escale : Etosha, réserve animalière naturelle de plus de 20 000 km² que nous arpenterons les trois jours suivants.

Bienvenue au petit Achille.

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En territoire inconnu chez les Himbas (31/08 – 01/09)

Bon les journées s’enchaînent et aucun signe de fatigue ou de maladie à déclarer, la diversité de ce pays permet de rester au taquet, aussi nous sommes impatients d’arriver chez Marius (bien que nous ayons du lui donner les clés de la Nissan car malheureusement il nous était impossible de réussir à rejoindre son « camp » plus que reculé) qui en plus d’extraire des pierres semi-précieuses (trop de chauve-souris dans ses mines, affreux) s’avère être le « marango » ou « mage blanc » de villages himbas et herrero dans la région reculée du kaokaveld.

Après une nuit sans dormir à guetter un feu de brousse qui s’approchait très rapidement de notre tente (on a juste eu le droit avant de se coucher à un « no vorries » de Marius pas rassurant pour un sou), Marius nous invite dans sa tournée des villages auxquels ils prodiguent quelques médicaments de base et des vitamines.

Les herreros et himbas constituaient il y a encore cent ans la majorité de la population Namibienne avant le massacre opéré par les colons allemands qui les ont presque réduits à néant aujourd’hui (ça faisait longtemps qu’il n’y avait pas eu de petit point « histoire ») et continuent pour certains de préserver leur mode de vie traditionnelle loin de toute « westernazition » comme ils appellent ça …

Après une heure en 4X4 dans la brousse à travers les baobabs et les mopanes, le choc est violent, nous nous retrouvons dans un village himba uniquement constitué de femmes (qui dirigent cette communauté, bizarre comme principe) et d’enfants (l’homme du village étant le mari de 7 femmes dans 3 villages différents, il était « occupé » ailleurs).

Je ne vais pas vous faire part de tous les détails de leur vie quotidienne, de leurs rituels, de leur préservation (ça prendrait trop de temps) mais nous restons avec anne-gaga (cf photos avec enfants) sur le cul et super enthousiastes de pouvoir partager ces moments uniques avec ce peuple fier et Marius qui nous permet de communiquer avec eux.

Cette matinée à leur côté et auprès d’un autre village qui comprend un révérend de 85 ans (rare étant donné leur mode de vie et impossible pour la future génération notamment à cause du SIDA qui est un véritable fléau chez eux) restera un moment très fort de ce voyage.

Nous croisons également sur la route de nombreux herreros (habillé à l’ancienne mode victorienne) que nous retrouverons en masse par la suite dans la « ville » d’Opuwo où toutes les différentes tribus se croisent et se retrouvent notamment pour faire certaines courses élémentaires (le supermarché avec les femmes nues ou quelques hommes habillés façon guerrier masaï, c’était magique).

Bon c’est long et en même temps j’en aurai tellement à dire, en tout cas, ces deux jours étaient vraiment spéciaux (c’est nul de dire ça, mais ça met une petite claque quand même et puis fallait voir anne-copilote faire le plein à Opuwo, c’était bien bien marrant)

La température grimpe et nous continuons notre chemin jusqu’à la frontière Nord de la Namibie avec l’Angola séparée par un fleuve, le Kunene et ses chutes à Epupa, notre prochaine destination (trop hâte de voir de la flotte).

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La guerre du feu (27/08 – 30/08)

Pour résumer ces 4 journées, nous sommes restés dans la région du Damaraland marquées par ses nombreuses montagnes qui comprend notamment le Brandberg qui en plus d’être le point culminant de Namibie est connu pour abriter de nombreux pétroglyphes faisant partie des plus anciens jamais recensés.

Vous l’aurez compris, on s’en fout quelque peu et c’est là qu’anne-pragmatique prend tout son sens, aussi nous écourtons ces étapes à vitesse grand V et nous contentons de faire de belles randonnées en montagne, de se reposer en camping (petite piscine au bord d’une rivière qui ne nous a pas fait de mal) tout en continuant d’avaler les kilomètres vers le Nord (ce qui nous a permis de croiser des girafes au beau milieu de la route à défaut de voir des éléphants du désert), plus pauvre et où habite la plupart des tribus nomades de Namibie que nous espérons pouvoir rencontrer grâce à un médecin local qui s’occupe de villages dans la région.

J’oubliais n’étant pas des adeptes incongrus des pétroglyphes, nous nous sommes réaventurés sur la côte l’espace d’une demi-journée pour se rendre à Cape Cross connu pour sa colonie d’otaries qui est tout simplement la plus grande d’Afrique (100 000 au total) qu’il est possible d’observer le temps que vous êtes capables de résister à l’odeur (c’est épouvantable !!!).

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L’affaire Pélican (26/08)

Pour notre dernière journée à Swakop, nous nous offrons un bon cadeau, une excursion en 4X4, dans la « Sandwich Harbour » avec un guide ultra écolo (ancien président de l’association des défenseurs des éléphants du désert, c’est pour dire) qui est un mélange d’Harrison Ford et de Tom Hanks dans « Seul au monde », bref un bon personnage.

Bon, les photos parleront mieux que moi mais la journée fut riche en émotions et la découverte de cette baie coincée dans le désert et ces dunes qui tombent à pic dans l’océan, c’était tout simplement phénoménal, c’était sympa aussi d’avoir un passionné qui nous a régalé d’anecdotes tout au long de la journée (ce n’est pas pour autant qu’on veut devenir expert en oiseaux marins mais bon) Je vous passe les dauphins, les otaries, les pélicans et envol de flamands roses au coucher du soleil, voici les images (en attendant les vidéos quand nous aurons une bonne connexion)…

Ce gros gavage marque la fin de cette escale. Nous reprenons donc la route vers le Nord et les terres où les températures risquent de grimper en flèche.

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Point Break sur le sable (24/08 – 25/08)

Après 5 journées bien fatigantes (parce que bien remplies rassurez-vous) et autant de nuit sous la tente peu reposantes (saloperies de babouins), nous arrivons à Swakopmund au bord de mer bien fatigués et décidés à recharger les batteries, aussi nous décidons d’y passer trois jours dans une auberge de jeunesse avec des LITS (c’est bon ça !!!).

Après une bonne sieste l’après-midi de notre arrivée, nous décidons de nous consacrer à une activité que nous maîtrisons ma foi fort bien : la tournée des bars (deuxième et dernière ville de Namibie que nous croiserons, on était obligé). Comme souvent, le premier bar eut raison de nous et la tournée des bars s’est résumée à une tournée des différentes bières servies dans ce bar (bières namibiennes excellentes).

Ayant perdu quelque peu l’habitude, c’est bien « heureux » que nous décidons de mettre nos palets à l’épreuve en se rassasiant de pavés d’oryx à la sauce au poivre et de médaillons de springboks au garlic butter, le tout accompagné de vin sudaf, un régal !!!

La batterie à plein, nous nous lançons le jour suivant à l’assaut des dunes mais cette fois-ci pour les descendre en « sandboarding » soit en surf façon « Body » dans Point Break.

N’étant pas adepte du snow, c’est couché que nous décidons de nous lancer dans les dunes et je dois avouer que Anne-laglisse s’envoie et régale la galerie en battant les records de vitesse du petit groupe qui nous accompagne (75 km/h à ras de sable, ça va vite !!!). Ludique et bien marrant, on prend rapidement goût à la vitesse et grimpons en haut de dunes de plus en plus hautes (pour en rajouter, ces dunes surplombent la mer etc…).

Bref, c’est plein de « youhou » et autres « yeah » très surfeurs qui résonnent dans la tête que nous retournons en ville pour nous reposer avant de reprendre la tournée des bars là où nous l’avons laissé la veille … et à ce jeu-là, malgré l’excellent niveau d’anne-cerveza, je reprends la main…

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Lawrence d’Arabie en Namibie (19/08 – 23/08)

Avant de commencer, je tiens à dire qu’il est grisant de s’habituer à rouler au milieu des zèbres, antilopes, girafes, autruches et de dormir au milieu des babouins (qui nous ont dérouillé notre tente et notre voiture, cela dit en passant) dans des décors proches de Tatooine pour les amateurs de science-fiction (en gros stan, c’est dans Star Wars).

Nous nous sentons vraiment bien (pour ne pas dire vraiment très bien car nous aurions peur pour la suite) dans ce pays et nous habituons à l’isolement que ce dernier procure, aussi c’est avec une certaine appréhension que nous nous dirigeons vers Sossusvlei dans le centre de la Namibie au beau milieu du désert du Namib.

Ces salars (ou déserts de sel pour les novices) coincés au milieu des dunes toutes plus rouges les unes que les autres constituent le spot touristique de la Namibie et le lever de soleil sur ces dunes est un grand classique des photographes avertis (tout le monde croit l’être aujourd’hui avec le numérique mais bon).

Très vite, nos appréhensions se lèvent car malgré l’affluence, il est vrai plus importante ici, nous parvenons (grâce à un beau lever à 4h30 du matin orchestré par Anne-Matinale) à nous hisser au sommet des dunes, seuls au monde, avec le désert à nos pieds pour notre plus grand bonheur…

Bah, y’a pas à chier, c’est vraiment canon, il est difficile de nous ôter le sourire pour le reste de la journée que nous passons à sillonner de dunes en dunes et de salars en salars. Nos pieds s’en souviendront mais pas autant que nos petites têtes (en gros, c’est comme la première fois à Eurodisney pour un gosse). Très franchement, c’était « terrible » comme disait l’autre.

Je passe rapidement sur le fait qu’on ait raté le lever de soleil grâce à un bel ensablage de la Nissan Grand Livina (merci au couple qui a sacrifié son lever de soleil pour nous aider à sortir de ce guêpier), comme quoi ça arrive à tout le monde.  Anne-matinale est vite devenue anne-colère à ce moment-là, heureusement que la beauté des lieux est venue me sauver (j’avais un peu fait le fangio, j’avoue).

Ces deux jours resteront mémorables pour nous mais une belle journée de trek de 8h dans la Naukluft Mountain (2000 m tout de même) sous un cañar des familles le lendemain nous calmera très vite et nous renverra tranquillement dans les bras de morphée vers 18h30 (le pire, c’est que c’est vrai).

Demain, une longue route à travers le désert nous attend pour de nouveau rejoindre la côte Atlantique et la ville de Swakopmund (troisième agglomération de Namibie qui je le rappelle compte en tout et pour tout 2 millions d’habitants pour une superficie équivalente à 2 fois la France) où quelques bars et activités « funs » (comme disent les gens plutôt cools ou les australiens) nous attendent.

On vous embrasse bien fort et excellent anniversaire à la petite Solveig.

PS : j’espère que vous appréciez le petit côté Géo et Histoire des commentaires (je n’arrive pas à m’en passer c’est fou)

PS 2 : nous ne sommes ni assez bons écrivains ni assez bons photographes pour donner une bonne impression de ces immensités, paysages et de la gentillesse des gens ; aussi, nous vous invitons à découvrir ce pays par vos propres moyens. D’ailleurs pour les photos, nous allons bientôt les mettre sur Flickr pour que vous les ayez en meilleure qualité car elles sont un peu pourries sur ce blog

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Une ville portuaire allemande cachée derrière le désert (19/08)

Alternant kms de pistes, randonnées de plus en plus corsées (enfin ce n’est rien pour anne-joggeuse bien sûr) et soirées au camping (ça demande une certaine organisation ce qui est plutôt parfait pour anne-manager), j’avoue que nos dos commencent à souffrir et nous sommes impatients d’arriver à la ville portuaire de Luderitz où nous allons enfin dormir sur de vrais bons lits.

Après une visite de la ville, de la côte aux alentours (l’exploration de la faune continue d’ailleurs avec nos premières otaries et nos premiers manchots), et des quelques bars de la ville, nous nous offrons notre premier resto (si si) avec dégustation d’huîtres et de calamars, le tout suivi d’une nuit dans un vrai lit (quel luxe !). Cette escale ô combien régénératrice ne sera pas de trop avant de reprendre la route vers le Nord direction la civilisation et les « spots » de Namibie dans le désert du Namib.

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A l’assaut du Fish River Canyon ou l’isolement le plus total (16/08-18/08)

Après ces quelques jours dans le désert semi-aride sudaf au milieu des bêtes sauvages, nous prenons la direction du sud de la Namibie pour découvrir le deuxième plus grand canyon du monde (après vous savez qui) : le Fish River Canyon.

En dehors d’une étape par un campement qui protège des cheetahs (même pas peur) au bord d’une forêt de kokerbooms (arbres arides qui servent à la fabrication de carquois, il serait temps de passer à autre chose quand même), la route est principalement marquée par l’isolement le plus total dans lequel nous nous trouvons.

Nous comptons sur les doigts d’une main les gens que nous croisons mais cela nous permet de mieux profiter de ces paysages et de ces horizons toujours plus majestueux (et me permet de profiter encore plus des bonnes blagues d’anne-copilote qui a retrouvé le sourire puisqu’elle a enfin retrouvé son sac après que celui-ci soit passé par Berlin et Francfort, allez comprendre).

Le truc avec un canyon, c’est qu’on ne le voit pas avant de se retrouver en face bien, que celui-ci mesure toutefois plus de 150 km de long et 30 km de large, mais quand on y arrive, l’impression est bluffante … Le « vous savez qui » n’a qu’à bien se tenir …

Après deux jours à arpenter les flancs de ce dernier (ah bon les ampoules) et profiter de sources chaudes à deux pas du camping (ah bon on monte la tente en deux secondes et on fait du feu sans briquet), nous reprenons la route direction la côte Atlantique Sud et la ville de Luderitz riche en histoire (et en fruits de mer !) …

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Camping glacé dans le désert (11/08 – 15/08)

Passé l’épisode du voyage mouvementé, nous voici embarqués sur les sublimes routes namibiennes direction le désert de Kalahari à la frontière de l’Afrique du Sud et du Botswana que nous traversons à travers l’un des plus grands parcs naturels d’Afrique : le Kalahari Transfontier Park que nous sillonnons depuis bientôt 4 jours avant de revenir en Namibie.

Sans vouloir être désagréable, on s’éclate, se retrouver seul dans des paysages lunaires entourés de springboks, chacals, gnous, rapaces et toute sorte d’autres bestiaux, avec une playlist de son de qualité (merci foufi) c’est vraiment terrible.

Ah oui j’avais oublié les lions et les girafes …

Sinon le désert, la journée c’est cool mais les nuits sont très (trop ?) fraîches (- 5 °), ce qui nous vaut des soirées en camping (malgré les bières, les feux de joie et le ciel étoilé) assez courtes pour vite retrouver nos sacs de couchage de compet’ (merci encore à tous).

Il n’y a pas beaucoup (ou pas) de réseau vous l’aurez compris où nous sommes donc à bientôt pour de nouvelles aventures dans le Sud de la Namibie (partie plus méconnue du pays mais on a le temps héhé).

PS : apparemment, British Airways aurait oublié le bagage d’Anne-Squatteuse à Londres, l’espoir qu’elle me rende ma polaire renaît … suite au prochain épisode

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